Milka Plaza en Frances

L'écrivain chilien naturalisé brésilien, d'un baccalauréat en arts visuels et maîtrise en éducation artistique. Membre de l'Académie des lettres du Brésil - Santa Catarina Florianópolis

#poèmes   #la chronique

Savez-vous quel jour nous sommes ?

C'est la question qu'un homme m'a posée avant de traverser la rue. Il était pressé et avait un bulletin de versement à la main. J'ai dû beaucoup réfléchir sur une question aussi importante. Je veux la date ! Il a dit. J'ai réfléchi encore plus. Au bout d'un moment, j'ai répondu : le 27 août. Puis il s'est dépêché en criant : merci !
Avez-vous déjà remarqué à quel point le temps passe vite et nous oublions tout, absorbés par nos activités et nos problèmes que nous insistons pour transporter dans notre bagage de la vie quotidienne ?
Nous sommes devenus des robots devant le monde. Nous ne savons pas qui nous sommes. Toute la journée, je courais dans une frénésie constante. Tâches imposées par nous-mêmes. Des horaires à respecter, des déjeuners digérés à la va-vite, des loisirs avec un temps limité et dormir le plus possible seulement le dimanche quand cela est possible car parfois des invités arrivent et on s'oublie encore. 
Alors quel jour est-on ? Nous vivons automatiquement et si vite que nous ne remarquons pas à quelle vitesse les jours avancent. On ne s'en rend compte que lorsque l'on voit une nouvelle expression se refléter dans le miroir.

Quel âge j'ai? Donc c'est.


Poème
Le fromage 
au milieu de la bouche.
Fromage, bisou,
gorgées de vin.
Tes lèvres ont le 
ma saveur
qui consomme
l'arôme de rejoindre
d'assaisonnements
qui se souvient
des moments intenses.


Sensation
sensation douce,
viande agréable,
douce acidité
qu'il est permis de mâcher.
Je voyage dans les sensations
de la cohue palatine.
Délice d'automne
à la fin d'une
saison chaude,
je t'attendrai
avec la douce illusion
pour t'écraser à nouveau,
doux raisin d'été.

#sensation; #automne; #ilusion

Soupir
vagues qui calment
mon esprit voyage
falaise de la mer.
Voler au-dessus des rochers et des 
dans un courant 
je laisse mon soupir.
l'âme se brise
avec le bruit de la mer,
je quitte l'écran
depuis l'ordinateur
au coucher du soleil.
Sous l'écume de la mer
Je rêve encore,
pour me calmer;

#sensation; #mer; #amour


Ce matin
Et bien je t'ai vu !
Et bien je t'ai vu !
je dis
à l'aube,
avec amour et joie
ce froid matin d'automne.
l'hiver frappe à la porte
gel,
sud du Brésil.
Amour, amour,
Je pleure pour toi,
assis à côté de moi
débattre des normes
de l'orthographe.
Monde,
beau monde
qui se présente
ce milieu d'année,
toujours pandémique,
semi-vacciné.

#Amitié, #l'amour, #Brésil, #L'hiver, #milka plaza. #l'automne




Chose pandémique

à l'heure que
les hommes se cachent
à cause de la pandémie,
les animaux s’amusent,
aller au galop;
se baigner,
aller à la plage,
envahir les jardins,
carrés,
avenues.
La nature est libérée,
les eaux brillent,
le ciel se dégage,
les dauphins nagent
sur les voies de l’eau,
dans la belle Venise!
Les hommes emprisonnés
regardez par la fenêtre...
et attendre ....



Amour et danse
Je t'aime, dit-il
Elle le regarda avec tendresse...
Ils s'embrassèrent et a continué à danser au rythme d'une musique sidérale.
Peu importe la musique. Ils ont dansé adopté et aimé et rit dans l'amour. Le monde était à eux seuls.
À son tour, un cercle de spectateurs accompagnés de leur ressemble le duo pour violon et basse, qui a joué avec enthousiasme.
Le couple, d'habitants de la rue, adore la musique, le soleil de l'après-midi et l'amour qui enleva l'âme.



Tango
Poème pour une jambe
que danse un tango
Avec l'os
de son ombre.
Au compaś
d'une musique
imaginaire
ou non
du temps,
du sable,
de la poudre,
l'origine
hommes.




Image
Sensations
textures et formes
entrées
sorties.
Forme
qui laisse toucher..
Froide...
Statique...
Glacée...
Souhaite s'exprimer,
lui coûte parler,
a arrêté
dans le temps.

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A luz do teu cantar

Braços que andam pelo braço da viola. Dedos que apertam e ferem as notas soltas do teu olhar, do teu sentir. És tu amor olhar ...